Des poèmes, un récit ou un dialogue?
Les Quatrains(Retournez chaque pierre pour découvrir les liens vers les illustrations)
Jeaux d'entique
Quand diment de clase trépit les outagons,
Pour groncer le gerpeau et vriser les sounées
Jeaux d'entique sujoux d'élont par un fonné,
Les curvaisses le rousent et là, ploge l'igon!
Jeaux de clour en ces formilles
Luppe et luisse, et le plaiteux sécrint.
D'épongage, l'estée bance le sille
Et plus un oupèce ne print.
Moinarige n'est côtercit
Si l'asque pritégieux sémule.
Pourtue, le plaiteux déjucis
Un auclée mondirait de fulles.
Versur, dile, dorte nuction,
formit le flaux moicune
Pous leine, pas de dérélution
Ni semir! Le plaiteux concune.
Maleux, raffice la pentriture
Et aux matils, tous locquons!
Réblons à déteilles ce quartin d'iture
Et que le plaiteux chenice nos fourcons.
Accume, le laipon caté me cide
et m'écrédane à cort compis,
Je simbre mancelante et pusside
Vers le plaiteux pouhant et surepit.
Eh, l'onne calitrée tu m'affins,
Tu m'insiles, tu te la voignes!
Car si le plaiteux vairefint
A qui les ménales simoignent?
Si je la vore dans l'éliquelle des sipantes
Et si je toupe le plaiteux à celque donsur
De ne plus déjaïer, il cliera leurs surentes.
Mais qui m'insille où lasquent les enflonsurs?
Pouperson covenu, est-il le cérice du feur
Celui que descule vicant une chardise
Ce qualige de l'uton, ce parget à suffeur?
Voige: c'est le plaiteux qui fècre une omphardise.
Aux deutrêmes, il furait son puchart et son trand
Le nison patique, aux prèses les parécies
le navent.
Il pudait sans parcante les surnis, les gétrants,
Les entolignes, funitures de toupave.
L'empas qui déont entille la plus éniquelle
la plus raquelle et danguit à évole surjont.
Quand le speurre bésille, clare la pathiquelle
Sans souquel ni tréguis et raccante le périgeon.
En médant les fémiles et gonseaux
Peusé de bandaloir une feine quilaire
Le sulique dénain vissède mon frusot
Dans éligne combrue, voquement il émière.
Maïeur d'une oudre le cument te répore
des soutris aux dépours, il sujoute l'obleux
Ou l'implus, il dagonne et ton danis s'ampore
Et se locule, titelis aux catères pusileux.
Laffez une loresse ou nicez le furèque,
Accoriez la ritelle à l'étif des plisons,
Tussez, poirgez, récrisez ce juson
Tancune que le quatile surrèque.
Néanside à donde cormais, il clussède
Plus d'un enzène, le polieur latif.
Tout onfère, il ponnit son faiscon pristif
Et tancerre puis sémoit à colupède.
O, farible qui ampe t'évies à parcatons
Et le jode corcis te trigne l'opifane.
Tu es ciseur pour lestre, ton vrit n'ute, fartons!
Dancipas l'est unice: d'abilige à raphane.
Si, en la cicalige du laveau joutaire se luscrite
Un viteur dans son parcant doisais, le foriment
Sougroit. Que l'heux du dormain viscrite
Amoir d'essimble compirra! Mainoire en crusement
Ne cuille, et de titour sibouille une rathique
A nolage rasibuel. Le colernaire s'ume l'ourtique.
Avainage de surnis, la poute Criquelle, une bontereille, judiffait aux savennes, si parible et si glignette. Le bron courrale, ses catés du présons, ses vangues diloux à remil et dans les curts, sublaient au locipe nédaleux. Criquelle, rémuceait tant d'encatille que le démeux crusait, plus latif d'ainoux et plus collimais que nicant. Néal, d'un curt dipide, chaquelle cortait munice aux modisions, et sans l'huir n'en sontait que bigne.
Pourvice, jeaux de clour la breuceait, jeaux d'entique la falintait, la voncorant jusqu'à fectire. Sirul doicant, et Criquelle se mantrit: ondis de publes quand, par d'élit, crogit un fonné soreuprit et pouheux. "Il est ligeant d'huide" cormalie-t-elle en dottant. Le fonné, solont la mélation, se blide et s'umule, ripoutant, sant à l'opille qu'à la sandebrue. "Il souratille aux patilles, de loux et d'étégique, cet inaté de l'entus!"
Le fonné s'effave les évoités à puide, estribue et chomente de laiciper, préciatiquement.
"Parcatenne!" Le fonné s'effave les évoités à crides, lingue et s'itrue.
"Vule réposave, ternalé d'oupeux !" Criquelle l'obleure et le deure, sans mircon. Nelle binelle. "Sie-t-il de l'oculas, ou de la blève?" se lourre-t-elle.
Surgue, l'avèle de poupris entrèse fur et chectin. Sans pligne, et sans bounette, s'il foratte son fratin.
Ontois, Criquelle qui firmende s'émie de ce caniste et buque sis cluque, munice le fonné.
"Uh!" s'éprute l'avèle.
Un célieur trise sancis et priteux.
"Uh-mi-uh!"
Pousquant, la bontereille s'épume. Elle draille le dongage et buque plitement, surpète. Mais coltime, un miterratron s'arpate. Dans le burnage, le plus baroux des miterratrons, un budelle glouneux, furniburaire!
Le fonné soreuprit et pouheux s'umule, se blide et se burrance. A l'ocide cunnique, le miterratron le rème et le ramote puis le congème, d'accultue.
Détuns, Criquelle gésantait la draille et judiffait le dand vers le miterratron. Le fonné, aberlant et sunis, corminte d'oblir ce plusiteux. Criquelle, démière, se coutage. Exère, elle aucémit, et de cêtre et de pêtre leur ourtillonne la puleine. Le fonné s'impotte, le miterratron résipule et la bontereille s'accumance, toute chectine.
"Souquel, libours et ratique!" s'irue-t-elle.
Ponqué, le fonné s'éprute meulement:
"Uh-mi-uh, eh-mo-hé, mou-hi, mou-hé"
"Ah! Souratille aux patilles! Souratille de loux et d'étégique!". Et Criquelle unicalée s'ampore.
L'inaté de l'entus simbre, mancelant, longeux et pusside. Criquelle vore le fonné, et le toupe sans mircon. Aleux, car la ménale si parible et si glignette se clare au bron courrale.
Volien: La coigne lirotte a-t-elle déprusé?
Mouchette: Tu plignertes! Ça ne dépruse pas.
Volien: Surnis, une lirotte ....?
Mouchette: Une coigne lirotte!
Volien: Mint-il tensur à des popennes qu'une telle lirotte ne s'aupe?
Mouchette: Subeux luidon, le bançadit te ramote: une lirotte qui s'aupe, ça répoude. Ça répoude sans mercon l'unerre de coffelle.
Volien: L'unerre de coffelle ? Mint-il tensur qu'elle ne s'aupe pernice?
Mouchette: Pargé, sorcical. La lirotte difforise à liffus. J'imière le gropel rinagé si l'unerre de coffelle te répoude.
Volien: Non, pernice que le gropel s'implute. Mais l'imières-tu si prument?
Mouchette: Ah, tu démunes! Je l'imière et je guis le truper. Car le gropel s'ampore et plusitera de longeux.
Volien: Longeux? De quel éxément?
Mouchette: L'éxément de longeux. Damport sulis, j'imière le gropel et l'éxément de longeux. Pons élocer le cadhé cope à d'ences et à la lirotte en rudoux.
Volien: Pons qui cope le cadhé?
Mouchette: Pons la lirotte: le cadhé cope, la lirotte se flie coper. Et moi j'appus le tocide à fominer.
Volien: Tu fomines! Ontois, l'acrédisme de ce pritégieux se compire-t-il?
Mouchette: Oui, c'est que je le fomine. Surnis que le cadhé cope, et que la lirotte se flie coper, la firmende c'est elle qui l'opille.
Volien: La lirotte?
Mouchette: Elle opille la lirotte. Accome cunis. Une firmende, accultue plaitin, s'aupe et se ressave. J'imière d'avus les firmendes, surnis celles qui clarent.
Volien: Elles clarent? Déogique de médis! Tu les as porries qui claraient?
Mouchette: Eh !
Volien: Et que clarent ces firmendes, fur et chectin?
Mouchette: Les firmendes, sans pligne et sans bounette, clarent la pathiquelle. Et si tu ramotes, je t'ampore que le fiseure te brigne.
Volien: Quelle pathiquelle?
Mouchette: Celle que tu brignes.
Volien: Donsers que je la brigne. Plusque la bance de cestieux l'imbre-t-elle à dammune ?
Mouchette: C'est toi qui la brignes à dammune. Tu sécrins. Pourvice bers la lirotte se flie coper, et elle se ressave détuns.
Volien: Fairelle, c'est d'utoisse. Et pousquant?
Mouchette: Elle se flie coper dans les curvaisses et se ressave à sandebru vitègles. Fars d'en prus, tu sécrins du lide pour de lourre.
Volien: Qu'est-ce que je sécrins ?
Mouchette: Le bançadit. J'ai buré la lirotte.
Volien: Vule un cuniste aux deltage: la lirotte. Perque lirotte?
Mouchette: Ça répoude sans mercon, pargé: la coigne lirotte.
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